PATRICIA KAAS LIVE
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Patricia
Kaas sera en concert les 14, 15 et 16 octobre 2004
au Grand Rex, à Paris, pour 3 représentations
exceptionnelles. Réservez vos billets via la newsletter
du site officiel !
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Vous
souhaitez vous prononcer ? Alors dites-nous quel est
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SEXE
FORT TOUR |
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Séance de dédicaces, fnac de Nantes (19
février 2004)
Venue
de Patricia Kaas à Nantes le jeudi 19/02.
17h-18h
: enregistrement de l'émission 5 à 7 (radio Alouette) en direct du
forum de la fnac de Nantes.
18h-19h
: séance dédicaces au forum de la fnac.
15h
- arrivée à la Fnac
Après
100 km de voiture, j'arrive enfin à la Fnac de Nantes après avoir
passé une petite demi heure dans les bouchons Nantais… Je me gare
à 1 bon kilomètre de la Fnac et file avec mon affiche sous le bras
et mon enveloppe contenant tous vos p'tits messages…
Il
y a du vent. La PLV "sexe fort" n'aime pas trop (75 x 85 cm)
se plie et se tord dans tous les sens. Je presse le pas et le stresse
commence à pointer le bout de son nez… !
J'arrive
place du Commerce où l'imposant bâtiment de la Fnac est en ébullition…
Plein de jeunes dehors qui visiblement n'ont pas d'invitations mais
qui vont rester pour tenter de voir Patricia si elle arrive par ce côté
à 17h. Elle arrivera par l'entrée "cachée", derrière la
Fnac… Dommage pour eux.
Je
monte (non je saute !) les marches et pointe mon nez à l'accueil pour
"prendre la température". Immédiatement je suis rassurée
: la dédicace aura bien lieu malgré les grèves des contrôleur aériens.
Patricia est venue en voiture depuis Paris d'après une hôtesse qui
discute au téléphone. Il y a des pubs "sexe fort" dans
tous les coins des rayons et de grandes PLV annonçant la dédicace
partout. On s'affaire à l'accueil : les vigils tournent et virent en
surveillant les allées et venues.
15h15
- Je monte au deuxième étage pour voir s'il y a déjà la queue au
forum. Nous sommes quatre exactement à attendre ! Les techniciens
d'Alouette courent dans tous les sens : ils installent la table
d'interview, les micros, passent les câbles. Les chaises destinées
au public sont déjà installées et c'est sûr : nous serons à peu
près 50 privilégiés à pouvoir assister à l'émission ! Un p'tit
SMS à Nathalie pour lui envoyer mes premières impressions et je vais
m'asseoir par terre, dans un rayon tout proche.
15h30
- Trois ou quatre personnes de plus viennent prendre place dans la
minuscule file d'attente et c'est maintenant une petite dizaine de
personnes qui commencent à se serrer les unes contre les autres. Ça
papote, de Pat bien sûr, de la pluie et du beau temps, d'Aznavour qui
est venu il y a une semaine… Je m'amuse quant à moi des réflexions
des passants qui s'arrêtent devant le forum. Un mari à sa femme :
"Patricia Kaas ? T'étais au courant qu'elle venait ? T'aurais pu
me le dire quand même !". Waow.
15h45
- la véritable attente commence…
15h45
- tan tan tan tan tan ! Le stresse monte, monte, doucement mais sûrement.
Les technicos ont fermé les rideaux du forum. Je sors fumer pour me détendre
un peu. Les voitures de police entourent la place du Commerce. Les
vigils filtrent dans l'entrée et les nanas de l'accueil courent aussi
dans tous les sens maintenant.
16h
- je remonte et cette fois je prends ma place dans la file. On doit être
une bonne cinquantaine maintenant. C'est sûr, ceux qui n'ont pas d'invit'
resteront dehors. Une annonce depuis l'accueil :
"Mesdames,
Messieurs, chers clients, nous vous annonçons l'arrivée de Mlle Kaas
à la Fnac à 17h et vous invitons à prendre part à sa dédicace
exceptionnelle à partir de 18h".
"OK.
Le criez pas trop fort quand même !" dit une jeune femme qui
a l'air tendu comme un ressort !
16h45
- J'attends, patiemment, ça pousse, ça m'énerve légèrement… Une
info énorme nous arrive. Une femme à un "contact" derrière
la Fnac (entrée dérobée). C'est son mari je pense qui lui annonce
l'arrivée de la Mercedes !!!! Je ne
tiens plus en place. Trois gardes du corps immenses entrent dans le
forum. Les rideaux sont toujours fermés. Enfin les portes s'ouvrent.
J'entre m'asseoir et je me place au 7ème rang en plein milieu.
On nous donne quelques consignes : coupez les
portables et pas de photos. Hummmm…. C'est ce qu'on va voir. 80 %
des personnes ont sorti les appareils donc à mon avis c'est raté
pour empêcher les admirateurs d'en prendre !
17h
- l'entrée de Patricia
16h55
- Le moment H, enfin ! Je tremble, c'est terrible… J'ai une mamie à
côté qui me dit que les artistes ne sont jamais à l'heure et qu'il
faut encore attendre une bonne demi heure pour enfin voir Patounette !
Perdu M'dame !
17h
- Pile poil ! Patricia fait son entrée dans le forum. Je n'en crois
pas mes yeux c'est fabuleux, hallucinant ! La foule se lève, scande
son nom, crie et applaudi ! Moi la première, j'hurle tout ce que je
peux ! Mes premières impressions : Patricia est radieuse, heureuse d'être
là, souriante et…purée qu'elle est grande ! Je l'imaginais plus
petite moi qui ne l'ai jamais vue en chair et en os… Téquila est là
et suit sa maîtresse partout. C'est Cyril qui est présent. Mince,
j'aurais préféré Richard.
L'émission
commence. Quelques ratés niveau technique, les micros qui sifflent et
les doubles retours de son agacent un peu Patricia qui demande comment
elle peut savoir si elle est en direct ou pas. L'animatrice lui
explique. Elle lui dit en blaguant : "bah
oui, faudrait pas que je dise des bêtises genre : ohhh j'ai pas envie
d'être là !" Ou "bon c'est quand qu'on rentre ?".
Patricia et l'animatrice sont mortes de rire et nous aussi. L'ambiance
est excellente et bon enfant : tant mieux !
17h-18h
l'interview
Globalement,
hormis les gags distillés par Pat et les techniciens qui se prennent
les pieds dans les câbles… l'interview n'a rien d'extraordinaire :
toujours les mêmes questions : "pourquoi Sexe Fort"
et bla bla bla… Patricia par moment, à l'air de s'agacer d'avoir à
répondre toujours la même chose et je la comprends à 200 %. Un
p'tit jeu amusant ou Patricia doit donner le nom des interprètes de 5
chansons. C'est l'animateur qui lui se trouve au siège d'Alouette qui
lui pose les colles. Patricia trouve tous les extraits "Finger
in the noze" sauf un qu'elle n'a pas entendu. L'animateur se
fait huer (pour rire) par le public et l'animatrice lui dit qu'il est
"le maillon faible". On a bien rigolé de notre côté !
Passage
sympa tout de même sur "L'abbé Caillou" où
Patricia explique que l'émission "le fabuleux destin" où
elle devait la chanter pour l'abbé Pierre n'a pas eu lieu, celui-ci
étant souffrant.
Autre
passage excellent : Patricia qui cède à la demande d'une personne et
qui prend Téquila dans ses bras pour faire quelques photos. Les
miennes sont un peu floues. Oh j'ai omis de dire que bien sûr, on
mitraille dans tous les sens et que les vigils ont beau "battre
des ailes", dès qu'ils ont le dos tourné les flash crépitent !
18h
les dédicaces
Deuxième
file d'attente de l'après-midi mais pour les dédicaces cette fois !
Grand moment en perspective pour ma toute première rencontre avec Pat
! J'ai l'appareil photo dans les mains, mon affiche et vos p'tits
cadeaux dans l'autre…Ca pousse encore et toujours. Il y a un mec qui
se prend la tête avec un vigil car il mitraille Patricia à trois mètres,
la pauvre n'y voit plus rien...
Une
mamie éclate en sanglots arrivée à hauteur de notre idole.
Les
enfants présents sont amusants et naïfs comme tous les enfants.
C'est comme si le père Noël était présent. Patricia fait des
photos avec enfants et parents, prends les bambins sur ses
genoux…Bref, c'est une ambiance familiale, très sympa qui
s'installe dans le forum… Petits et grands ont droit aux bises à
volonté. Et les signatures vont bon train aussi.
Je tourne la tête pour voir ce qui se passe derrière car les esprits
s'échauffent semble t-il. Ah je comprends mieux pourquoi je me
retrouve comprimée contre le casque d'un motard devant moi : ils
viennent d'ouvrir les portes pour faire entrer les gens juste venus
pour les dédicaces ! Ils sont au moins 200 à faire la queue derrière
nous.
18h15
C'est mon tour !
Aï
aï aï, c'est mon tour, deux personnes devant moi et je me jette à
l'eau ! J'en profite, puisque je suis à deux mètres d'elle pour
admirer notre Patou adorée. Elle est magnifique.
C'est
à moi. Alors je ne sais plus trop ce que j'ai dit. Bonjour déjà, je
lui ai remis mon cadeau et tous les messages à transmettre et je lui
ai déposé mon affiche sur la table pour quelle me la signe. J'ai
ensuite demandé au vigil de me prendre en photo avec Patricia mais il
a refusé par "manque de temps" d'après lui alors que les
personnes juste avant y avaient eu droit… Déçue, et alors que
Patricia me remercie pour les cadeaux, je lui dis : "ton vigil
ne veut pas me faire la photo". Pour mon grand bonheur,
Patricia se tourne vers lui et lui dit : "je suis là pour mon
public et je ne peux pas faire ça. En plus cette jeune fille m'amène
des cadeaux et des messages d'autres fans. Je suis très touchée et
je vous ordonne de faire cette photo !". Et ben il ne savait
plus où se mettre !
Une
p'tite bise (elle porte le parfum Angel Patou), un dernier p'tit mot
de Pat qui me dit que la PLV que j'ai est celle qu'elle préfère et
je sors. Elle me fait un clin d'œil en zieutant le fameux vigil. Et
voilà. Je suis repartie sur mon petit nuage flottant. J'en rêve
encore. C'est vraiment une expérience incroyable à vivre. En tout
cas j'ai aussi invitée Patricia à venir nous rejoindre sur les
forums où elle peut nous laisser un p'tit mot un de ces quatre.
Voilà,
les photos sont bien réussies. Si vous avez l'occasion de vivre ça
par chez vous, n'hésitez pas deux tiers de seconde ! Cette chance
inouïe est rare, alors foncez ! C'est au tour des Strasbourgeois fin
mars je crois ? Si vous en êtes (n'est ce pas Nathalie !) apprêtez-vous
à vivre un moment de bonheur inoubliable…
Laetitia.

Concert de Varsovie, Pologne (23
février 2004)
Le
concert à Varsovie de la célèbre chanteuse Patricia Kaas était le
premier en Europe et la première représentation mondiale de la
promotion de son nouvel album, Sexe Fort.
Le
show de 40mn qu'elle a présenté nous a un peu laissé sur notre
faim. Elle nous a rendu gai, nous a touché jusqu'à verser des
larmes, et nous a quitté bien trop rapidement.
Au
lieu du groupe de 10 musiciens initialement prévu, Patricia Kaas a
chanté accompagnée par seulement 4 personnes, ce qui a rendu son
concert plus intime. En parfaite harmonie avec ses musiciens, elle a
su faire ressortir de ses chansons leur beauté profonde. C'était le
seul concert donné par l'artiste lors de sa visite en Pologne.
Le
titre de son 7ème album studio parle de lui-même. Il met en garde et
affirme que les femmes peuvent écrire des textes vraiment forts. Et
les hommes, convaincus par ce message, ont participé avec
enthousiasme à ce projet : Francis Cabrel, Renaud, Etienne Roda-Gil,
Stefan Eicher (avec qui Patricia chante en duo), Jean-Jacques Goldman,
Pascal Obispo, François Bernheim, Patrick Fiori, Louis Bertignac et
J. Kapler. Grâce à eux, cet album devient une vraie carte de visite
témoignant de l'éblouissante vitalité de Patricia.

Bien
sûr, l'album ne manque pas non plus de l'approche typiquement
féminine, rien que dans les textes de Marie-Jo Zarb et Léa Ivanne
qui ont écrit les paroles de son premier single Où sont les
hommes. Sexe Fort est un album aussi électrique qu'éclectique
qui propulse la voix de Patricia dans des sommets d'énergie,
d'émotion et de liberté.
Nous
pensions tout savoir sur Patricia Kaas. 15 ans de carrière
ininterrompue, couronnée par la vente de plus de 15 millions de
disques et plus de 800 concerts pour des millions de fans à travers
le monde, ont confirmé sa position sur la scène internationale.
Patricia reste toujours la même, la tête et les pieds sur terre, et
grâce à cet album, nous pouvons contempler le reflet de l'âme de
cette femme de 37 ans, qui sait mieux que jamais d'où elle vient et
où elle va.

L'artiste
s'est rendue en Pologne la 1ère fois il y a un an, le 18 mars 2003,
pour participer au 24ème Festival de la Chanson d'Auteur à Wroclawiu.
"Mes concerts, dit Patricia, et mes rencontres avec les
fans m'ont appris que c'est justement ces chansons qui parlent le plus
au public, sans distinction d'age, de nationalité ou de classe
sociale. Dans les plus grandes salles de concert, dans les plus petits
clubs, au bout du monde, la plupart des artistes reconnus aujourd'hui
ont commencé leur chemin en interprétant Piaf, Brel, Bécaud,
Trenet, Aznavour..."
Merci
à Joanna KRAMARCZICK pour la traduction polonais-français.
Concert de Marche-en-Famenne, Belgique (18
juin 2004)
Patricia
Kaas retrouve la scène. Poivre d'Arvor l'applaudit en coulisses...
MARCHE-EN-FAMENNE
Blotti au coeur des forêts, dans une campagne verdoyante, c'est au château
d'Hassonville que, pendant une semaine, Patricia Kaas est venue se
reposer après de longues heures de répétitions. A l'instar de son
pote Eicher (qui lui a écrit et avec lequel elle chante en duo On
pourrait, sur son dernier album), la fille de l'Est a choisi la
Belgique pour mettre la dernière main à un show qui va l'emmener,
dans les mois à venir, aux quatre coins du monde. Pas étonnant que,
vendredi soir, au Wex, à Marche-en-Famenne, on l'ait sentie un peu
tendue. Sur les premiers morceaux, en tout cas. Pourtant, les 2.000
fans qui s'y étaient donné rendez-vous étaient, c'est sûr, conquis
d'avance. Et il n'a pas fallu trois accords de D'Allemagne pour
qu'ils le lui fassent savoir.
Plus
Dietrich que jamais dans un manteau de fourrure noire, sa petite robe,
noire elle aussi, largement fendue, elle rend hommage à sa manière
à l'éternelle Marlène. "Bonsoir, vous êtes là ?",
demande-t-elle en tombant la veste. Puis elle implore Laissez-moi
chanter. Histoire de déstresser un peu, elle papote ensuite avec
son public, qui n'en demandait pas tant. "Après tout ce temps,
j'ai besoin d'être rassurée", dit-elle dans un souffle. Surtout
que, pour la première fois, elle défend sur scène les 16 titres de Sexe
Fort, son dernier album.
Une
question de temps, La nuit est mauve, Je t'aime, je ne
t'aime plus : les fans ont déjà tous les paroles dans la tête.
Même s'ils semblent continuer de préférer - c'est classique - les
anciens tubes. Quand Jimmy dit fait un carton, on lit la jubilation
sur le visage de Patricia. Il me dit
que je suis belle, murmure-t-elle
ensuite, couchée sur un petit sofa. Avant d'enchaîner avec Je
voudrais la connaître. Mademoiselle chante le blues et les
amours déçues. Elle qui, dans le privé, partage une belle histoire
avec PPDA, venu tout exprès à Marche pour cette première. Mais
déjà elle disparaît, le temps d'un changement de tenue.
Pantalon
ample, petit top et chaussures plates, elle entonne Mon mec à moi et
Où sont les hommes, avant de s'avancer dans un halo de lumière,
au bord de la scène, pour jouer quelques morceaux plus intimes. Les
plus jolis, peut-être... Une fille de l'Est, Une dernière
semaine à New York et Entrer dans la lumière. Pendant
deux heures, comme elle le chante fort justement, Patricia Kaas va
prouver que C'est les femmes qui mènent la danse. Avec ses
propres chansons comme avec ses reprises de Johnny, Barbara ou Brel en
rappel.
Un
dernier hommage à L'abbé caillou et elle s'en va. Pour mieux
revenir, en novembre.
Article
extrait du journal La dernière Heure, Belgique.

Concert de Marche-en-Famenne, Belgique (18
juin 2004)
Ainsi donc, après quatre concerts à Saint-Gilles, en Réunion,
Patricia Kaas s'est installée avec toute son équipe à
Marche-en-Famenne afin de peaufiner la première de sa tournée
mondiale ce vendredi 18 juin au Wex de la cité ardennaise. Une tournée
de plusieurs mois qui passe par la Belgique en novembre et qui
conduira la chanteuse jusqu'à Vilnius, en Lituanie pour une dernière
date le 28 avril 2005. D'ici là, la miss aura eu tout le loisir de
faire partager un nouveau répertoire construit autour de son septième
album Sexe fort mais conçu aussi comme un concert best
of et il est vrai, qu'à l'applaudimètre, ce sont les classiques qui
fonctionnent le mieux.
C'est
vêtue d'un manteau de fourrure sur une robe noire généreusement
fendue que Patricia Kaas a fait son entrée avec l'autobiographique D'Allemagne
écrit il y a une quinzaine d'années par la paire Bernheim/Barbelivien.
Mais à peine Patricia a-t-elle commencé l'interprétation de ce
morceau que son guitariste s'effondre sur scène, comme foudroyé.
Petit moment de panique alors que le groupe continue à jouer. Il
semblerait que c'est le trac qui a eu raison du musicien qui réapparaîtra
sur scène bien plus tard dans la soirée.
Pour
un premier concert, le tour de chauffe est plutôt réussi. Bien sûr,
certaines sonorités sont parfois datées et on sent Patricia un brin
tendue – rien d'anormal à cela, c'est une première – mais au fil
des chansons dont une bonne partie de Sexe Fort, la dame va
gagner de l'assurance et, en pro qu'elle est, remporter la mise devant
les 2.000 spectateurs.
Le
public a beau être attentif, on sent directement qu'il est plus réceptif
aux tubes de Patricia Kaas. Quand Jimmy dit, Il me dit que
je suis belle ou Je voudrais la connaître réveillent les
spectateurs. Bien en place, la chanteuse et comédienne habite et vit
ses chansons si bien qu'on la sent quasi vibrer intérieurement
lorsqu'elle revisite Une fille de l'Est, par exemple.
Si
elle change de vêtements en cours de spectacle, elle rentre de plus
en plus dans son concert et dès l'intro de Mademoiselle chante le
blues, les fans s'invitent au pied de la scène. La triplette Toute
la musique que j'aime, L'aigle noir et Quand on n'a que
l'amour aura son petit effet juste avant un dernier L'abbé
Caillou, titre hommage à l'abbé Pierre.
Entre
classiques et nouveautés, Patricia Kaas à dans les mains un solide répertoire.
De quoi faire des miracles sur la route mais surtout de quoi continuer
à séduire et régaler son fidèle public. Avec simplicité et
naturel...
Article
extrait du journal Le Guide, Belgique.
Concert de Bucarest, Roumanie (21
juin 2004)
O
repriza de ploaie face sa se umple, in cateva clipe, spatiul de la
intrarea in Biblioteca Centrala Universitara. Locul e acoperit, iar
multimea se adaposteste de stropi. Nu picaturile provoaca neliniste,
ci faptul ca, peste putin timp, va incepe concertul. E 21 iunie,
solstitiu de vara si Fete de la Musique. Putin dupa ora 20, in Piata
Revolutiei va aparea Stefan Banica Jr., pentru care s-au gatit zecile
de domnisorele, acum dezamagite de aspectul lor "plouat".
Idolul se iveste, iar fanele nu mai ezita: vor infrunta "stihiile",
precum Ana lui Manole, vor lasa in urma adapostul si se vor dezlantui
in fata scenei. Ceva mai rezervati, barbatii danseaza
"discret", pe stradutele din apropiere, nerenuntand la
minima protectie oferita de stresini. In balconul de la Hilton si la
cateva ferestre "civile" s-au instalat spectatori de ocazie;
masina pompierilor e si ea populata cu amatori de rock'n'roll, dupa
miscarile lor coregrafice pline de prestanta. Stefan Banica nu mai e
de mult junior in ale muzicii. Recitalul de acum doua seri a inseninat
publicul, chiar daca deasupra mai zaboveau cativa nori antipatici.
Desi oamenii au primit spectacolul gratis, reactiile lor au fost
pasnice si "la obiect": au cantat, refren dupa refren, au
dansat si au batut civilizat din palme. Dupa o ora, artistul i-a
asigurat pe cei prezenti ca vor avea intotdeauna "un loc in inima
mea" si a plecat, lasand in urma vesnicele inimi sfasiate. A
urmat, in a doua parte a show-ului, invitata de onoare a "Sarbatorii
Muzicii", Patricia Kaas. Daca, pana la ea, romanii au avut parte
de ceva vant si putina ploaie, dupa ce a urcat pe scena vedeta
franceza a inceput "furtuna". Asa cum promisese, a dat un
concert "electric", cu piesele de rezistenta intr-o noua
formula orchestrala, cu energie molipsitoare, cu reprize fermecatoare
de dans, cu obisnuita melancolie, dar si cu forta unui fenomen
meteorologic de proportii. Nu un uragan care sa distruga tot ce
intalneste in cale, ci un vant bun care sufla in panzele unei corabii.
Indragostitii se simteau, probabil, pe "Love Boat", fiindca
domnisoara Kaas i-a inspirat: perechi-perechi, au dansat si s-au
sarutat de zor, nemaifacand pauze nici intre melodii. Fanii veritabili
s-au aflat, in schimb, la post, insotind-o pe solista cu aplauze si
cantec pe tot parcursul concertului, astfel ca au primit si cateva
bisuri. Cu o distributie precum aceea de luni, cea mai lunga zi din an
a avut descarcari electrice si pe cer, si pe scena.
Article
extrait du site Adevarul Online, Roumanie.

Concert de Bucarest, Roumanie (21
juin 2004)
Invitata
de onoare a festivalului “Fete de la Musique”, Patricia Kaas se
pregatea ieri sa sustina concertul din Piata Revolutiei. Inainte sa
urce pe scena pentru primele repetitii, vedeta franceza a raspuns
intrebarilor presei in fata unei sali inguste de la Ambasada Frantei.
Interpreta s-a aratat destul de ratacita: “Am ales sa vin in Romania
pentru ca am fost invitata...”. Punctuala, ea s-a grabit sa raspunda
cit mai scurt intrebarilor care i-au fost adresate, invirtindu-se apoi
printre ziaristi, insotita de bodyguard si de caniche-ul de-o schioapa
care nu se indeparta mai mult de 5 metri de stapina. In sala in care
s-a tinut conferinta de presa, ciinele se plimbase pe sub pian si pe
sub masa vedetei. Intrebata despre Romania, Kaas si-a adus aminte ca
exista o trupa de aici care are succes in tara ei, dar a precizat ca
nu are timp sa-si dea seama de prea multe din tarile in care merge,
chiar daca este la al treilea concert pe care il sustine in Romania.
Patricia Kaas a venit la Bucuresti insotita de 6 muzicieni care au
acompaniat-o aseara, intr-un spectacol in care interpreta promitea ca
o sa arate ce poate “fara efecte si sunete inregistrate”: “Vreau
sa ma urc pe scena si sa arat cit se poate face numai cu muzica si
voce, fara coregrafie, fara o trupa de dansatori.” Interpreta si-a
adus aminte ca in concertele pe care le-a sustinut pina acum in
Romania publicul a reactionat aproape la fiecare piesa.
Article
extrait du site Expres, Roumanie.
Concert de Bucarest, Roumanie (21
juin 2004)
Patricia
Kaas a dovedit, la conferinta de presa de ieri de la Ambasada Frantei,
ce a precedat concertul de aseara, ca prea putin (daca nu chiar deloc)
o intereseaza Romania si ca acest recital bucurestean este puternic
motivat doar de onorarii.
Discutiile divei cu presa au fost destul de scurte si seci, nu a
oferit nici prea multe autografe. De asemenea, nu a dat interviuri,
iar jurnalistilor romani le-a acordat putin timp si atentie, daca e sa
comparam cu atitudinea deschisa a altor artisti. Intrebata de ce a
acceptat sa revina la Bucuresti pentru acest al treilea concert, dupa
cele din 92 si 98, Kaas a raspuns la obiect: „Pentru ca oamenii de
aici m-au invitat si pentru ca e Sarbatoarea Muzicii si am acceptat sa
fiu impreuna cu ei la aceasta sarbatoare.“ Referitor la spectacolele
sustinute anterior la noi, intrebata daca i-a placut ceva anume aici,
a raspuns: „Mi-au placut acele piete mari pline de oameni.“...
ROMANIA SI O-ZONE, MISTER TOTAL - Cat despre personalitatile noastre
pe care le cunoaste sau despre muzica romaneasca, „fiica Estului“,
cum i se spune, a reusit sa dezamageasca pe toata lumea, prin lipsa de
informare, dar si de interes. Ea a afirmat, referindu-se, cu siguranta,
la grupul O-zone, in mare voga in Occident: „Nu cunosc nici o
personalitate si nici muzica romaneasca. Stiu doar ca exista un grup
de baieti romani in Franta, dar mai multe nu cunosc.“ De altfel,
celebra blondina nu a suferit niciodata la capitolul sinceritate. Ea a
marturisit, printre cateva zambete ironice, la adresa jurnalistilor:
„Cand merg undeva, intotdeauna cunosc bine camerele de hotel,
aeroporturile si locurile in care cant, dar nu am timp sa vizitez
nimic. Vom pleca maine (astazi - n.r.) dupa-amiaza si poate vom reusi
sa vedem totusi ceva in Bucuresti.“
INVITATA SPECIALA: CATELUSA TEQUILA - Patricia nu a venit la
Bucuresti, exceptand echipa sa de muzicieni, insotita de vreun prieten
apropiat sau membru al familiei. Singura „invitata“ la cel de-al
doilea concert al ei din turneul „Sexe Fort“ (dupa Belgia) a fost,
cine credeti?,... catelusa ei, Tequila. Frumosul bichon alb nu a putut
lipsi, cum altfel, nici de la conferinta de presa de ieri de la
Ambasada Frantei, unde s-a zbenguit in voie, ca la ea acasa... Foarte
mult s-a discutat, in schimb, despre cel mai recent album al
interpretei, pe care il promoveaza in cadrul acestui turneu: „Sexe
Fort“. Ea a explicat ca ar fi, in mod normal, vorba despre sexul
masculin, numai ca, in context, se refera la cel feminin, iar albumul
„reflecta bine caracterul meu, fiind vorba de forta, de o anumita
sensibilitate, fiind o muzica mai directa ca text si mai dura ca
aranjament. Este vorba de o muzica feminina, nu insa si feminista.“
Alaturi de melodiile sale vechi, ca „Mademoiselle chante le
blues“, „Il me dit que je suis belle“, „D Allemagne“ s.a.,
piesele de pe acest album, care s-au auzit aseara in Piata Revolutiei,
se inscriu intr-un gen nou, rock, pe care artista l-a abordat cu curaj,
in aceasta etapa a vietii ei, optiunea fiindu-i motivata de lucruri
mai mult personale. Pascal, chitaristul Patriciei, ne-a confirmat ca
vedeta locuieste nu la Paris, ci in Elvetia, si este foarte buna
prietena cu presedintele francez Jacques Chirac si, „probabil“, cu
Alain Delon.
LANSATA DE SOTII DEPARDIEU - Patricia Kaas s-a nascut la 5 decembrie
1966, in Forbach, o localitate din regiunea Lorraine, Franta, fiind
ultimul din cei sapte copii ai unei familii de muncitori intr-o mina.
In 1987, dupa o auditie pariziana, Elizabeth Depardieu i-a scris
textele cantecelor, iar sotul ei, actorul Gerard Depardieu, i-a produs
primul disc. In 88 i-a aparut primul album, „Mademoiselle Chante“,
care s-a bucurat de un mare succes international. In 90, albumul si
turneul mondial „Scene de Vie“, cu care a ajuns in SUA, au
consacrat-o printr-un timbru grav deosebit. Au urmat „Je te dis
vous“, „Dans ma chair“, „Le mot de passe“ etc. si, in
ianuarie 2003, cel de-al saptelea album, „Sexe Fort“. Manechin
pentru reviste de moda si actrita in „And Now Ladies and
Gentlemen“, de Claude Lelouch, solista, in varsta de 38 de ani, a
stiut sa pastreze bine secretul in privinta vietii personale,
cunoscandu-se doar faptul ca nu este si nu a fost niciodata casatorita.

Concert de Carcassonne (13
juillet 2004)
Elle
nous aura tout fait ! L’entrée en manteau de fourrure taquinant ses
chevilles graciles, la sortie en déshabillé noir transparent offrant
aux regards avides son érotique culotte noire... en passant par le
lamé doré style jaquette de serviteur du Roi; du Johnny Hallyday
(avec un excellent arrangement) précédant du Siergo Leone (avec un
excellent harmonica), pastichant au passage la regrettée Barbara (et
son excellent Aigle noir); du plat dos sur canapé avec pâmoison au
sautillement sur le bout des pieds avec cheveux en sens inverse, en
passant par la traversée du théâtre sans les Hercule de sa
garde-intacte; du charme à se pâmer au quatrième des Statu Quo en
passant par “Carcassonne réveillez-vous!” alors que la salle
comble frappait subrepticement des mains comme pour écraser une mite
quittant son bas de laine. Bref, Patricia Kaas est belle sur scène,
son dynamisme après une dizaine de concerts, reste intact, son entraînement
pour les tours de piste s’avère nettement insuffisant mais
qu’importe: elle a subjugué son public par sa voix singulière,
tantôt féminine à outrance, tantôt râpeuse comme un jeune vin
encore bourré de tanin. Des 2 500 habitants du théâtre ce soir, il
n’y eut qu’un seul plébiscite: celui de son talent. Elle se
donne, elle se donne à fond, elle nous abreuve de la coupe du
plaisir. Longue vie à la petite blonde chaleureuse et bouillonnante
qui, pourtant, nous vient de l’Est...

Concert d'Aix-les-Bains (15
juillet 2004)
Vent
d'est sur Aix... Ambiance
tamisée pour Patricia Kaas, jeudi soir.
Patricia
Kaas s'est produite jeudi soir sur les planches du centre des congrès
devant une salle quasi comble d'un public averti. Durant presque 2
heures la chanteuse a assuré magistralement son spectacle entre
intimité langoureuse et rock n'roll endiablé.
Une
salle enfumée, des lustres et des bougies ocres parsemées sur la scène,
une ambiance tamisée. Tel est le décor dans lequel "La fille de
l'Est" a pris place jeudi soir pour son concert à Aix. Le
spectacle a débuté en trombe avec "Gottingen". Les lumières
répondent aux jeux vocaux de Patricia Kaas. Une entrée remarquable
qui a conquis une assemblée de connaisseurs. Ils ne se sont pas trompés.
Toute
de noire vêtue, la star germanophone séduit et s'affirme tout à
tour. Chaque changement de tenue indique un éclairage de ses univers.
En corset, jupes fendue, talons aiguilles, la belle se fait séductrice
ou femme blessée. La puissance de sa voix est remarquable. Ni fausse
note ni démonstration lyrique extravagante. Nous pourrions croire
entendre un CD tant sa mélodie est juste.
Cependant
l'intensité de sa prestation rappelle à l'ordre. Il s'agit bien de
Patricia Kaas, en chair et en os qui livre ses émotions en live, dans
la force d'une interprétation contrôlée. Et le contraste est
saisissant. Comment une telle femme si mince et en apparence frêle
peut-elle transmettre tant de passion à son audience ? Peut-être
est-ce la victoire des désirs dont elle a fait part à plusieurs
reprises à son public. "Dans chacune de mes tournées j'aime les
moments d'intimité et je voulais commencer celui-là par une chanson
très autobiographique"...Comprenez "Une fille de
l'Est" offerte par Jean-Jacques Goldman.
Les
dédicaces s'enchaînent pour les personnes présentes. Les tubes également,
tout comme les derniers opus de son récent album ou les refrains
mythiques de "L'aigle noir" somptueusement interprété. Son
bras balance dans le faisceau du projecteur comme un signal à la
foule, qui plus tard viendra au pied de l'estrade chanter et danser
avec leur idole incarnée. Tel le Janus de la chanson, Patricia Kaas
s'épanche. Ses inspirations et ses attachements retentissent : le
blues, la musique country. Et voilà une autre femme blonde qui
traverse la scène en courant et lève un poing, déterminée dans la
quête des applaudissements, qui apparaît dans un large pantalon
noir. Son éclipse n'aura pas duré. Ils ont sifflé et trépigné
tant et plus qu'elle est revenue 2 fois. Coiffée d'une borsalino,
elle tire sa révérence avec l'un des titres qui l'a placée sous les
feux de la rampe : "Mon mec à moi"...
Article
extrait du Dauphiné Libéré.
Concert d'Aix-les-Bains (15
juillet 2004)
Salut
à tous !!!
Ah ...fabuleuse cette nouvelle tournée... et encore les mots ne font
pas le poids !
Voici donc mes impressions du premier concert auquel j'ai assisté :
celui d'Aix-les-bains !
Jeudi 15 juillet : première venue de Patricia Kaas dans la ville
thermale. Alors que tous les artistes se produisant ici pendant la
saison estivale choisissent le théâtre de verdure ou bien
l'Esplanade, c'est dans un lieu fermé : le centre de congrès, que
nous avons eu le plaisir d'accueillir Patricia.
L'Auditorium du centre des congrès est une salle de petite capacité,
probablement une des plus petites salles dans lesquelles Patricia a pu
se produire jusqu'à présent (1300 places assises approximativement).
Curieusement, la promotion (enfin à ma connaissance) n'a pas été à
la hauteur de l'événement : pas d'affichage ni de spots radios si ce
n'est Chérie FM qui a offert quelques entrées à ses auditeurs. Cela
dit, ça n'a pas empêché la quasi totalité des places de trouver
preneurs.
Patricia a fait son entrée plus sexy que jamais : en jupe fendue,
corsage et hauts talons. Sans aucune intro, elle a entonné a capella
le refrain d'Allemagne avant d'être suivie par son groupe. La
nouvelle version d'une des chansons qui a révélé Patricia en a
certainement surpris plus d'un (et d'une !). J'ai moi-même eu le
sentiment de la redécouvrir : l'orchestration était énergique
et électrique à souhait.
Elle a enchaîné ensuite avec "Ceux qui n'ont rien" après
avoir salué le public. Patricia commençait ainsi son concert en
beauté, armée de 2 tubes, prête à conquérir son public. Seulement
voilà, ce n'était pas gagné ! Le public Savoyard a la réputation
d'être plutôt tiède, long à la détente et effectivement ça n'a
pas failli à la règle ! Dès l'extinction des lumières, les gens
ont à peine applaudi et cette absence de réaction s'est
poursuivie...
Elle qui dit aimer les concerts où le public n'est pas conquis
d'avance a été servie !
Quand Patricia a pris la parole après Ceux qui n'ont rien, elle s'est
dit, à coup sûr, "Eh ben, ça va pas être de la tarte" !
Les gens ne réagissaient absolument pas. Quand Pat s'adressa à nous
avant d'attaquer "Une question de temps" nous demandant si
on connaissait ses nouvelles chansons, ça a été le silence total...
ce qui l'a fait rire (d'appréhension ?). Par la suite, Les choses ont
pris une autre tournure (mais progressivement !), l'énergie des
chansons et de la prestation de Patricia ont vite tiré les
spectateurs de leur marasme. "Quand Jimmy dit" repris en
coeur par une partie de la foule amorçait déjà une évolution.
"On pourrait" et "C'est les femmes qui mènent la
danse" ont été très appréciés. Puis ce fut le tour de
"Je voudrais la connaître". Patricia assise sur un
fauteuil, et éclairée par un seul projecteur, a subjugué le public
par son interprétation. "Des regrets" a pris des allures de
communion (toutes proportions gardées) avec le public. La salle à
l'unisson balançait ses bras au rythme de la chanson.
Puis, c'est vêtue d'un pantalon noir que Patricia a refait son
apparition sur scène pour débuter son "moment d'intimité".
"Une fille de l'est" et "une dernière semaine à New
York" ont, tour à tour, ému et émerveillé le public. "Ma
liberté contre la tienne" a été l'occasion pour un fan de
tenir la main de son idole pendant une petite minute et de lui faire
un bisou en prime : Qui n'aurait pas aimé être à sa place ?
Mais trêve de plaisanterie, il était grand temps pour Patricia de
conquérir définitivement ce public qui ne demandait qu'à être
enflammé. Armée de 3 nouvelles bombes : "Mademoiselle
chante...", "Toute la musique..." et "Où sont les
hommes", elle a frappé tous les coeurs. Le public s'est précipité
au devant de la scène (malgré l'espace plutôt restreint !) et n'a
plus lâché Patricia, ce qui a dû la motiver. Elle s'est, en
effet, déchaînée comme jamais : elle a joué avec ses musiciens,
sauté, dansé, couru, virevolté. Le public, ravi, le lui a bien
rendu.
Nouveau changement de tenue, Patricia a fait son retour en robe et
bottines pour interpréter un de ses plus gros tubes "Mon mec à
moi" avant de s'attaquer aux reprises de Brel et Barbara. Puis
elle a conclu avec un titre qui a électrisé la foule : "Je le
garde pour toi" avant de se retirer.
Patricia nous a donc offert un show magistral de près d'1h50. Le
"Sexe fort Tour" est certainement le plus dépouillé de
tous ses concerts pour ce qui est de la mise en scène mais c'est sans
conteste le plus énergique. Si "Ce sera nous" était un peu
trop statique et manquait de punch à cause d'une mauvaise répartition
des titres et "Rendez-Vous" plus "conceptuel", le
"Sexe fort Tour" déménage comme aucune autre des
prestations de Mademoiselle Kaas.
Il n'a probablement pas fini d'évoluer car j'ai pu remarquer que
Patricia avait déjà modifié son tour de chant. Certains titres, par
rapport au tracklisting communiqué sur les différents sites,
n'apparaissent plus dans le même ordre (ce qui est le cas notamment
de "On pourrait" qui se retrouve au début du show) et
certains (à mon plus grand désespoir, ont été supprimés !
En tout et pour tout 3 titres sont passé à la trappe ! Il s'agit du
nouveau single (!) "Je t'aime...", "Peut-être que
peut-être" et de "L'abbé Caillou". Patricia nous
propose donc un show un peu plus court, ce qui est parfois le cas lors
des concerts d'été (cf. "Ce sera nous"). Ma seule déception
est l'absence de "L'abbé Caillou" et dans une moindre
mesure, celle de "je t'aime, je ne t'aime plus". Si on a pu
constater que le répertoire retenu pour les festivals était plutôt
surprenant (dans le mauvais sens !) notamment à Bobital où
Patricia a supprimé ses derniers titres ("On pourrait",
"Cest les femmes...", "Une question de temps" et
inexplicablement "Où sont les hommes" !), elle avait tout
de même retenu "L'abbé Caillou" !!!
Mais bon, on ne peut pas toujours faire l'unanimité ! La tournée
vient seulement de démarrer et Patricia nous réserve très
certainement des surprises au cours des mois à venir...
A suivre.
Olivier.
Concert des Francofolies de La Rochelle (17
juillet 2004)
Bonjour
à tous,
Hier
soir, 17/07, Patricia était en concert pour les Francofolies à La
Rochelle, avant Goldman, et la soirée
d'hommage à Jean Louis Foulquier, créateur des Francos.
Quel bonheur de revoir Patricia sur scène, même si le concert a été
ecourté (1h20 à peu près), car la soirée s'annonçait longue. Elle
a interprêté la plupart de ses grands succès, et a repris Armstrong
de Nougaro, Toute la musique que j'aime, Quand on a que l'amour. Mais
j'ai été assez déçu de ne pas entendre Ou sont les hommes, et Les
hommes qui passent. En tout cas, elle se dépense toujours autant pour
captiver la foule (9000 personnes, concert complet, c'est l'effet
Goldman), si bien que rapidement tout le monde a accroché. Sinon
beaucoup de VIP pour cette soirée, Jospin, Ségolène Royale et François
Hollande, PPDA (tiens donc!).
Puis la soirée s'est terminé avec Goldman, concert d'1 heure, puis
le concert d'hommage, avec entre autres Maurane, Zazie, Sanson,
Thieffaine, Souchon et Voulzy, Juliette, Patricia (Avec le temps, très
émouvant comme d'hab), Zebda, Les Innocents, Passi, Renaud. Que du
lourd! Très très bonne soirée, qui s'est terminé en backstage,
malheureusement Patricia s'est vite éclipsé, et je l'ai loupé de
peu. Pas grave, je me suis consolé avec Zazie!
Voilà, bon dimanche à tous,
Julien.
Concert à Zurich, Suisse (21
juillet 2004)
Live
at Sunset, Zurich, 21 juillet 2004.
Quand
Patricia monte la scène bien embrumée, les derniers spectateurs
cherchent toujours leurs places. Elle porte un manteau doré, un
pantalon ainsi qu'un top noir. Puissamment, elle commence avec Auf
Wiederseh'n Lilli Marleen, suivi par Ceux qui n'ont rien.
Le public est déjà enthousiaste, car ce sont des chansons très
connues. Après ces deux chansons, Patricia nous dit
"bonjour". Elle semble bien à l'aise et contente de rentrer
dans la lumière. Elle nous demande si nous voulons savoir ce qu'elle
avait fait toute la journée. Nous sommes curieux, mais elle ne le
raconte pas. Par contre, elle dit qu'elle lit régulièrement dans la
presse, ce qu'elle ferait dans la vie. De la presse, elle avait
appris, qu'elle déménagerait de nouveau à Paris où elle aurait un
ami (un journaliste). Ces histoires s'amusent, comme c'est bien vrai
qu'elle déménage mais seulement de l'autre côté du Lac de Zurich !
Il suit un applaudissement frénétique ! Nous, les Suisses, sont bien
heureux qu'elle aime Zurich et qu'elle reste chez nous. Nous ferons
attention à elle et nous la laisserons vivre sa vie tranquillement.
Après cette petite digression dans sa vie privée, elle continue son
programme par Jimmy et quelques chansons de son nouveau disque.
Le show est très dynamique. Elle court d'un côté à l'autre. Il
suit un moment "plus intime" où elle chante entre autre: Il
me dit que je >suis belle, La fille de l'Est, Entrer
dans la lumière et Ma liberté contre la tienne. Elle
chante cette chanson pour un jeune couple, assis au bord de la scène.
La puissance retourne avec On pourrait qu'elle chante avec
Pascal, son guitariste. Mademoiselle chante le blues force les
derniers spectateurs aux pieds. Tous dansent et claquent, c'est la
folie ! Patricia est en pleine forme, elle court, elle danse, complètement
déchaîné. A la fin du programme principal, elle tombe aux genoux,
au bout du souffle. Les spectateurs ne cessaient plus de claquer et
crier. Patricia se lève après un bon moment et disparaît dans la
nuit. Suivi par les premiers tacts de Mon mec à moi, elle
revient en scène. Elle a changé ses vêtements entre-temps.
Maintenant, elle porte quelque chose de très sexy, très étonnant.
Je ne dis plus rien, vous verrez vous-mêmes. Elle termine son concert
après 2 heures avec son troisième encore Quand on a que l'amour
(la chair de poule) ! Un dernier bisou et elle s'en va.
Tout
le monde est heureux.
Au
revoir à Montreux, Patricia !
Salutations.
Susanne.
Concert au Grand Rex, Paris
(14 octobre 2004)
Depuis
le temps que j'attendais de voir Patricia à Paris! Je ne l'ai vu
qu'en province à chacune de ses tournées...
Et
pour rien au monde je ne l'aurais raté.
20h30,
j'ai donné rendez-vous à mon père (fan depuis ses débuts mais qui
s'est éloigné après Je te dis vous).
Alors
pour résumer la soirée? Un seul mot : EPOUSTOUFLANT. Le concert est
du début à la fin plein d'énergie, des arrangements et une voix
à vous donner le frisson. Elle frappe fort 2h durant. Aucune
chanson ne manque même si on a tous et toutes des préférences.
Je
profite de ce mail pour dire un grand Bravo et un grand merci pour ce
show à Patricia Kaas. Mon père, loin de s'imaginer qu'elle puisse être
aussi présente sur scène, (suffit de la voir une fois pour corriger
ce trait de caractère qui n'apparaît pas en télé !), en est resté
le souffle coupé. Il a chanté, s'est levé et a bougé comme jamais
je ne l'avais vu. Il en avait oublié sa douleur dorsale et sa récente
opération ! Rien à redire, je ne pensais pas que Patricia m'aurait
surpris à ce point... Un conseil à ceux qui hésiterait encore : ne
passez pas à côté de cette vibrante boule d'énergie qu'est ce
concert, des reprises dont une de Johnny qui démontre la puissante
Patricia et des moments d'émotions où elle chante seule pliée
sur une banquette, on ressent la douleur!
Alors
bon concert à toutes et tous et il y de forte chance de m'y revoir en
province !
Christophe.
Concert de Anvers, Belgique (17
novembre 2004)
Patricia
Kaas à la force du poignet.
La chanteuse a
peiné à faire décoller l'étape anversoise de sa tournée Sexe Fort.
Patricia
Kaas est une star, une des seules de la variété française à encore
venir jouer en terres néerlandophones. Mercredi soir, en la salle
Reine Elisabeth à Anvers, la chanteuse de bientôt 38 ans (le 5 décembre)
a pu le regretter l'espace d'un - long - moment. Le temps qu'il aura
fallu pour dégeler un public littéralement figé. Tétanisé de se
retrouver face à l'idole tant attendue, voire décontenancé par la
tenue pour le moins légère de la diva du "sexe fort", le
titre de son dernier album et de sa tournée.
Bien
sûr, la position basse de l'assise, hautement inappropriée pour ne fût-ce
que bouger les mains, et la concentration de personnes entre deux âges,
sont autant de circonstances atténuantes. Il faudra attendre Je
voudrais la connaître, passé la demi-heure, pour que l'énergie
scénique de la belle, les jeux de lumières chaudes (et par moment
aveuglantes), l'électricité acoustique, ou encore la douce euphorie
du moment présent, prodiguent leurs bienfaits conjugués sur
l'audience, qui, dès lors, sera nettement plus participative. Et
Patricia, pantalon noir ultra-large et bustier itou au décolleté généreux,
en aura payé de sa personne, en courses incessantes d'un côté à
l'autre de la scène, en harangues vigoureuses, poings levés, en
sollicitations vocales diverses (les hommes et les femmes à tour de rôle),
se coupant en quatre, payant de sa personne, donnant et donnant jusqu'à
l'essoufflement.
Sous
les lampes à abat-jour, auxquelles des pendeloques de perles disposées
sur leur pourtour donnent des airs de méduses, la chanteuse à la
voix de velours cède de temps à autre à la tentation de l'emphase (Où
sont les hommes, Mademoiselle chante le blues, Toute la
musique que j'aime). Parfois même sur des morceaux plus
intimistes, à l'exception notable de Peut-être que peut-être
et L'aigle noir, superbes. D'Allemagne, joué en
ouverture, avait bien donné la couleur du spectacle, tentant le grand
écart délicat entre énergie et intimité. Ce qu'elle confirmera
quelques minutes plus tard: «Dans mon caractère, il y a de la mélancolie
et de la volonté. Nous allons donc jouer entre légèreté et
puissance.» De fait, ses musiciens (deux guitaristes, deux claviéristes,
un bassiste et un batteur) auront alterné force et délicatesse,
alignant de temps à autre, et à tour de rôle, des solos
instrumentaux qui donnent la désagréable impression de pièces préfabriquées.
Ce qui nuit clairement à la spontanéité supposée d'un spectacle en
public. Cela n'empêchera pas le public de se lever et de finalement
faire un triomphe à la Lorraine, toujours en concert (enregistré)
hier et aujourd'hui soir au Cirque royal de Bruxelles.
Article
extrait de La Libre Belgique.
Concert de Bruxelles, Belgique (18
novembre 2004)
Bonjour
à tous,
Je
ne pouvais pas vous ne pas vous faire part de mes impressions suite au
concert que Patricia a donné hier au Cirque Royal. En un mot :
MAGISTRAL. Non seulement pour le spectacle en lui-même (mais cela je
le savais déjà pour avoir déjà assisté à plusieurs concert du Sexe
Fort Tour) mais aussi et
surtout pour l'ambiance dans le public : MAGNIFIQUE. Le public était
déjà debout à Il me dit que je suis belle qui est la 6 ou 7ème
chanson !!! Le public bruxellois est vraiment TOP ! C'était vraiment
mon meilleur concert des 6 concerts du Sexe Fort Tour auxquels
j'ai déjà pu assister. A tous ceux qui assisteront au concert de ce
soir à Bruxelles, je compte sur vous pour être aussi bon qu'hier !
IL FAUDRA METTRE LE FEU !
En tous les cas, moi, c'est sûr je retourne ce soir à Bruxelles !!!
Bonne journée à tous !
Olivier.
Concert de Bruxelles, Belgique (19
novembre 2004)
Salut
à toutes et tous,
Un
mot pour définir ce concert ?? OUAH !
Nous
avons pu rentrer dans la salle un bon moment avant le concert ce qui
nous a permis d'être bien placé (premier rang) et de déjà pouvoir
prendre ou reprendre plutôt connaissance avec les décorations sur scène
qui attendaient dans l'obscurité. L'occasion aussi de découvrir
toute l'armada de caméras (sur grue, sur roues, fixe, portable) qui
étaient prêtes à saisir les moindres mouvements de notre star !
J'étais accompagné de quelques personnes du groupes : Sandrine,
Nathalie, Denis et ai fait connaissance sur place d'autres admirateurs
(je n'aime pas le mot fan, désolé) entre autre Laetitia
et bien d'autres personnes dont je serai incapable de citer.
Petit
à petit la salle se remplit, et vers les 20 h 15 (je crois), la lumière
baisse, les premières notes retentirent et voici dans une lumière
splendide notre belle Patricia. Rien qu'aux premiers accords de
sa voix mes yeux se remplirent d'une intense émotion tant j'étais
heureux d'être là, (devant en plus), de l'admirer et d'être aussi
accompagné de personnes que j'apprécient !
Patricia
nous a fait un show unique, dans lequel elle s'est de nouveau laissée
partir de l'émotion la plus forte à l'énergie la plus folle. Elle a
envoûté nos coeur et corps avec sa voix et sa présence. Le public
n'a même pas attendu son autorisation (lol) pour se lever, même si
par la suite cela devenait un peu un "yoyo" (assis chansons
calmes / debout chansons rythmées). Puis lorsqu'elle nous a autorisé
à faire ce que l'on voulait, tant pis pour les autres (c'est pas
bien), mais notre petit groupe ne s'est plus assis une minute !)
J'ai
de plus vécu un moment intense et je tenais à vous en faire part,
lorsque Patricia est passée juste devant de notre côté, elle a
plongé sa main vers les quelques mains tendues et les miennes s'y
trouvaient, sa main et avant bras se sont retrouvés un très courts
instant dans mes mains et en une fraction de secondes nos yeux se sont
croisés, c'est bête à dire mais pour moi c'est comme si ce
moment avait duré une éternité et que le temps se stoppé. Je crois
que cela restera gravé à jamais dans ma mémoire !
N'ayant
pas la mémoire des titres : voici quelques titres interprétés dont
je me rappelle (ils seront loin d'être dans l'ordre) : D'Allemagne,
Une fille de l'Est, L'aigle noir, Entrer dans la lumière,
l'Abbé Caillou, La nuit est mauve, Je Le Garde pour
toi, Je voudrais la connaître, Les regrets, Quand
Jimmy dit, Mademoiselle chante le blues, On pourrait (plus
certain du titre), Toute la musique que j'aime, et j'en passe
de nombreuses, je m'en excuse mais la fatigue d'hier joue (lol).
Puis
un magnifique cadeau de sa part, elle nous a interprété pour la
première fois sur scène une chanson en allemand mais là, je suis
vraiment dans l'impossibilité de vous dire le titre où je risque de
me fâcher avec la langue allemande pour toujours !
Après
ces 2 h 25 (environ) de concert, nous nous sommes retrouvés à une
petite vingtaine dans un bistrot (ralenti.com / les personnes
comprendront (lol)), ensuite devant reprendre la route, nous sommes
sortis plus tôt que les autres et quelle chance, arrivant dans la rue
arrière du Cirque Royal, la Mercedes de Patricia arrivait doucement,
ce qui nous a permis de croiser une dernière fois (pour ce jour) le
regard de notre idole et d'échanger un petit coucou de la main et un
joli sourire...
On
ne peut dire qu'une chose, Merci Patricia, merci du fond du coeur et
le plus sincèrement du monde de bonheur que tu nous offres tant il
est immense et intense. Pour ma part, le vrai remerciement que je peux
t'offrir c'est de te respecter à ta juste valeur car le respect, tu
le mérites.
Vincent.
Concert de Bruxelles, Belgique (19
novembre 2004)
Bonsoir
à tous
Me
voilà rentré de Belgique et je suis encore sur le nuage Kaas ! C'est
impressionnant l'énergie que Patricia dégage et je me demande où
elle puise toute cette force pour donner tout d'elle et rendre son
spectacle aussi merveilleux.
J'ai passé une soirée de vendredi à Bruxelles inoubliable. Elle était
tout simplement elle mais avec en plus de l'amour pour son public.
C'est fou l'ambiance qu'il y avait. J'étais également dans les
premiers rangs. Dés la deuxième chanson nous étions debout et
avions pas spécialement envie de nous réassoir mais....
J'ai trouvé que Patricia a tout donné d'elle et son beau cadeau
final, la chanson allemande était sublimement bien chantée je
trouve. J'espère qu'elle sera sur le live ...
Bises à tous
Concert de Baden-Baden, Allemagne (27
novembre 2004)
Bonjour
tout le monde
Samedi
passé je suis allé au concert de Patricia Kaas à Baden-Baden en
allemagne. Et ce que je vais dire est d'une banalité mais je
tenais quand même à l'écrire.
Je
l'ai trouvé vraiment splendide. Son entrée sur scène était
magnifique tout comme le reste du spectacle d'ailleurs. Je dois avoir
avouer que j'avais un peu peu en entrant dans la salle car le publique
de Baden-Baden et un publique quand même bon chic bon genre. Mais
malgré cela Patricia a réussi a les faire se lever et à les faire
danser. C'était vraiment splendide.
Sur
les 3 tournée où je l'ai vu, je dois avouer que c'est ce spectacle
que j'ai préféré. Elle dégage une telle émotion... Et sinon je
pensais qu'après avoir entendu Quand on a que l'amour par Céline
Dion et Maurane, ça serais impossible de faire une aussi belle
version... Et bien quand j'ai entendu Kaas la chanter sur scène j'ai
trouver que c'était encore plus joli. C'était vraiment splendide.
Sinon
je voulais juste savoir si vous avez aussi eu le droit a une chanson
en allemand et si elle a chanté Où sons les hommes quand vous
étiez au concert (pour ceux qui y étaient bien sur).
Salutations.
Math.
Concert de Vienne, Autriche (3
décembre 2004)
Bonjour
a tous,
Voila,
hier soir j'ai assisté au concert de Patricia Kaas a Vienne ! Génial
! Génial ! Quelle énergie,quelle voix, quelle beauté ! En attendant
de trouver le temps de rédiger mes
impressions sur le concert, scanner les photos bien réussies. Voila
quelques points.
Elle
s'est vraiment beaucoup donnée, malgré la salle très difficile et
le public, un peu plus âgé qui écoutait
plus qu'il participait, mais a la fin, triomphe ! On était tous sur
scène avec elle.
Le
concert a duré deux heures, elle n'a pas chanté Ou sont les
hommes, Une question de
temps, sinon quelle jolie interprétation de L'Abbé Caillou,
avec le micro branché sur un petit bâtonnet
en couleur léopard. Je voudrais la connaître. Super !
Elle
a tellement convaincu, que les stands où personnes ne faisait un
tour, à la fin du concert étaient bourrés,
et les gens achetaient sans compter.
A
bientôt, je tâcherai de donner les détails, les anecdotes, les
surprises sur ce concert, qui pour moi
est le meilleur de Patricia, entre Rendez-vous, Piano Bar,
auxquels j'ai pu assiste jusque là.
A
bientôt !
Iso.
Concert de Vienne, Autriche (3
décembre 2004)
SEXE
FORT EN AUTRICHE
«
Gasometer », une salle très difficile. La sono en souffre, la
chanteuse peine à chauffer un public réservé, coincé par l'émotion.
Patricia Kaas en grande professionnelle, avec sa baguette magique,
elle y est arrivée. Apres Bregenz, où elle a chanté devant 1600
personnes, devant tout le gratin VIP Autrichien, ce soir là, elle
avait rendez-vous avec le public viennois qui lui voue depuis long
temps déjà une grande admiration.
Je
ne saurais pas vous dire combien on était. Dans tous les cas, peu
nombreux que lors du Piano-Bar. Où sont passés ces mains qui
applaudissaient à ne rompre. Ces jeunes qui criaient Patricia du début
à la fin, mystère ! Le public présent, à part quelques uns,
semblait découvrir la chanteuse pour la première fois, mais
croyez-moi, ils ne sont pas rentrés déçus.
Le
spectacle a commencé avec cinq minutes de retard. On entend dans les
premiers rangs, des applaudissements. Ils viennent d'apercevoir la
silhouette de Patricia, qui prend place au milieu de la scène.
Tout à coup les lumières s'allument, vont dans tous les sens. Au
fond de la scène des petites flammes montent, Patricia, le dos tourné
au public, semble faire sa séance de méditation sur fond de
musique dont je ne saurais vraiment pas décrire.
Un
Aufwiedersehen ne va pas tarder, D'Allemagne est lancé.
Patricia caresse sur les couplets piano voix, Patricia griffe sur les
refrains, les guitares à fond. Elle annonce la couleur, c'est parti
pour deux heures. Elle se veut tendre, révolté, un savant mélange
qui lui va plutôt bien et ne déplait pas un public qui en redemande
encore et encore.
La
nuit sera mauve, la scène aussi. La nuit aura des reflets lilas, vert
sur Peut être que peut être, d'un bleu ciel sur L'Abbé Caillou.
Sur ce morceau Patricia tient à la main une baguette couleur léopard
sur laquelle est branché le micro, et fini la chanson en vocalisant,
géant !
Vient
le moment intime, après une émouvante interprétation de Je
voudrais la connaître, Des regrets, qu'elle ne chantera
pas couché comme dans les concerts d'été, mais on lèvera les mains
à
gauche à droite. Ma liberté… sera offerte à un chanceux célibataire
choisi dans le public. On pourrait remonte l'ambiance, Patricia
fini le dernier couplet dans les coulisses pour revenir sur Mon mec
à moi, avec un chapeau noir, une jupe sur laquelle brille le
symbole de la femme.
Le
public est invité à s'approcher de la scène. A partir de ce moment
là l'ambiance devient euphorique. Adieu le public timide, on est nez
à nez sur scène avec Patricia qui danse, aussi fort qu'elle chante.
Même si les pan pan pan pan !!!! de Jimmy would I say au début
n'ont pas eu d'écho le public a bien répondu aux Made-mois- elle
chante le bluuuuues. Toute la musique que j'aime semble être
la préférée de Patricia, elle se donne à fond, allant même à
passer entre les jambes de Milton. On retrouvera l'émotion, l'intimité
vers la fin du concert sur L'aigle noir, Patricia les ailes déployés
dans sa robe noir, offrira sa plus belle des reprises. Quand on a
que l'amour qu'elle a interprété à moins d'un mètre de moi, me
fera comprendre que les chanteuses à voix, les vrais existent. Je
le garde pour toi, sera long, comblera le vide des deux morceaux
dont on n'a pas eu droit, Ou sont les hommes et Une question
de temps.
Elle
quittera la scène du coté droit, tranquillement, après avoir salué
plusieurs fois. Dehors, les stands sont envahis par un public qui achète
sans compter, comme si une nouvelle star venait de voir le jour.
Chapeau
bas a son groupe de musicien, qui à la fin du concert étaient tous
couché par terre, seule Patricia est restée debout. C'est la première
fois que Kaas se produit dans trois villes d'Autriche, elle a bénéficié
d'une bonne presse, en province, comme à Vienne.
Iso.
Concert de Paris (21
janvier 2004)
Salut
à tous,
un
petit mot suite aux concerts de vendredi et samedi soirs. J'étais présente
les deux soirs et j'ai vraiment a-do-ré !!! Encore plus le samedi car
il y avait davantage d'ambiance (sûrement parce que davantage de fans
aussi !)
Dommage
qu'il y ait eu quelques petits incidents liés à la polémique
assis/debout. Patricia a cependant très bien géré la situation de
mon point de vue même si ça n'a pas dû être très agréable pour
elle toutes ces histoires.
A
part ça, elle s'est déchaînée, comme toujours, a sauté, dansé,
s'est montrée chaleureuse avec le public... Que de beaux moments et
comme c'est passé vite...
J'ai
été ravie de retrouver des fans des groupes internet (vous
m'excuserez, je ne sais plus trop qui est sur quel groupe donc en
vrac) : Sylvain, Muriel, Claudine, Christine, Annabel, Laurence,
Nicolas, Michel, Sophie, Christophe... J'espère n'avoir oublié
personne !
Je m'excuse auprès de ceux à qui je n'ai pas pu dire au revoir mais
il était assez difficile de voir tout le monde en même temps et
j'avais un RER à attraper...
Voili, voilou,
bises à tous.
Elodie.
Concert de Paris (21
janvier 2004)
Je
n'avais pas encore vu le concert et je l'ai trouvé tout simplement génial.
Patricia
nous fait partagé un grand moment de bonheur, riche en émotions et
en sensations fortes.
Heureux
celui qui à partagé ce moment privé avec Patricia (Ma liberté
contre la tienne). Nous pouvons l'envier mais aussi nous réjouir pour
lui. Je pense que cela doit être un souvenir inoubliable....
Petit
détail qui tue : la braguette de la Demoiselle à glisser au fur et
à mesure du spectacle. Lorsqu'elle s'en est rendue compte, je me suis
demandé si elle n'allait pas éclater de rire à coté du
clavier.
Vivement
la sortie du live pour retrouver ces émotions.
Grégory.
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